EXCLUSIF : NOUS ÉTIONS À LA CONFÉRENCE DE PRESSE DE TARIQ RAMADAN | GPTV INVESTIGATION
Description
Le 5 octobre 2025 à 16h, Mike Borowski vous embarquait pour un reportage exclusif sur GPTV Investigation.
Le coup de tonnerre judiciaire
Un séisme judiciaire frappe Tariq Ramadan. Lors d’une conférence de presse exceptionnelle, l’intellectuel suisse a dévoilé des éléments remettant en cause l’ensemble des accusations. Après dix ans de procès, de prison et de lynchage médiatique, il contre-attaque.
Tariq Ramadan affirme avoir été victime d’un complot politique destiné à l’écarter du débat public. Il cite nommément Manuel Valls, qu’il accuse d’avoir organisé sa censure médiatique. Face aux caméras, il déclare : « Il fallait me faire tomber », « J’ai tout perdu ».
Les nouvelles preuves — échanges de messages, incohérences dans les témoignages, coordination entre plaignantes — suggèrent une manipulation concertée. Ce ne sont pas des victimes isolées, mais des actrices d’un scénario politique.
L’affaire Ramadan était un outil de neutralisation d’une voix musulmane influente, perçue comme dangereuse par certains cercles politico-médiatiques. Aujourd’hui, les masques tombent. Le piège semble avoir été minutieusement préparé.
Le piège organisé pour détruire Tariq Ramadan
Derrière une apparente affaire de mœurs, tout pointe vers une opération orchestrée : dénonciations simultanées, relais médiatiques instantanés, soutien politique implicite. Il fallait faire taire un intellectuel musulman qui prônait souveraineté, émancipation, résistance à l’hégémonie occidentale.
Tariq Ramadan a été condamné par les médias avant la justice. Aucun respect pour la présomption d’innocence. Aucun débat. Les accusations étaient martelées sans contradicteur. L’opération fut une mise à mort sociale, savamment relayée.
Le retour de Tariq Ramadan et la peur du système
Cette conférence fut bien plus qu’un moment judiciaire : un acte politique. Il y a dénoncé la censure orchestrée par le système médiatique français, sous l’influence directe de Manuel Valls. Sa voix, bannie pour ses idées, revient aujourd’hui sur le devant de la scène.
Le pouvoir craignait sa capacité à fédérer, à parler d’Europe indépendante, de dialogue des civilisations, de souveraineté contre l’hégémonie américaine et israélienne. Ce discours, intolérable pour l’ordre établi, a été écrasé. Mais il revient renforcé.
Brisé physiquement, Tariq Ramadan est ressorti debout : « J’ai connu la maladie, la prison, j’ai tout perdu ». Dix ans de silence, mais une force spirituelle intacte. Désormais, la vérité éclate, les juges doutent, le public s’éveille.
Une affaire devenue symbole
Cette affaire n’est plus judiciaire : elle expose une mécanique d’oppression. Si Tariq Ramadan est innocent, qui réparera dix années de ruine ? L’État profond, en tentant de l’écraser, a fait émerger un symbole de résistance.
Ramadan incarne aujourd’hui la lutte contre une justice instrumentalisée, un système médiatique aux ordres, un pouvoir qui refuse la dissidence. Il est redevenu un acteur central d’un combat dépassant sa propre histoire : celui de la liberté contre la manipulation.
Ce jour-là, il n’était plus l’accusé : il était debout, témoin d’un mensonge d’État qui vacille. Malgré tout, il a tenu. Et désormais, c’est la vérité qui parle.
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